La Quête du Chocobo

La Quête du Chocobo

Les soldes Steam, l’occasion d’acheter des jeux auxquels je n’aurais pas cédé en temps normal. Cette fois c’est Final Fantasy XIV : A Realm Reborn, et c’est tant mieux que ce soit sur Steam parce que lorsque j’avais voulu l’acheter depuis le site de Square Enix, je n’avais pas réussi… C’est l’une des raisons qui, après avoir participé à la bêta, ne m’a pas décidé à l’acheter, ni de m’y abonner. Ça, et aussi parce que la plupart des PNJ sont muets et les quêtes annexes fades…

Guillaume Lechat

C’est moi !

Je me présente : Guillaume Lechat, Miqo’te de la Tribu du Soleil, né le 15e soleil de la 1re lune ombrale, attaché à la Grande Compagnie de L’Ordre des deux vipères (soldat de 3e classe) et à la compagnie libre X-Squad, Archer de niveau 25, élémentaliste de niveau 9, Pugiliste de niveau 8, Cuisinier de niveau 6, Tanneur de niv… Bon j’ai de la place, mais ca risque d’être un peu long de dénombrer tous mes titres. Disons que je suis important, et ce n’est pas moi qui le dit, ce sont Les Héritiers de la Septième Aube, et surtout Minfilia…

Classe !

Il faut savoir que ça ne servira pas à grand-chose de reroller, puisqu’il vous suffira de changer d’arme/outil de main, après avoir échangé quelques mots avec le représentant de la guilde correspondante, pour incarner une autre classe. J’aime ça puisque je suis habituellement du genre à créer un personnage par classe, juste pour voir.

Dans FFXIV:ARR, le combat et l’artisanat sont regroupés en disciplines : 5 de la guerre (gladiateur, pugiliste, maraudeur, maître d’hast et archer), 3 de la magie (élémentaliste, occultiste, arcaniste), 8 de la main (menuisier, forgeron, armurier, orfèvre, tanneur, couturier, alchimiste et cuisinier), et 3 de la terre (mineur, botaniste, pêcheur). Chacune d’elle peut être étudiée et maîtrisée par un seul et même personnage. Des combinaisons, à partir d’un certain niveau, débloquent même des jobs.

Voilà pourquoi, moi, Guillaume Lechat, comme tant d’autres, ai autant de titres.

Tu n’as que ce que tu mérites

Ayant opté pour l’édition collector numérique, j’étais déjà super content de pouvoir crâner devant les autres joueurs avec ma monture coeurl. Au final, après plusieurs heures de jeux, un icone toujours grisé et quelques recherches sur Internet, j’ai compris qu’en fait, ça ne serait pas si simple…

Il est important de savoir que la suite de quêtes, caractérisée par l’icone en forme de météore, est celle qui va vous permettre de débloquer les fonctionnalités du jeu (outil de mission, aéronefs, …) dont celle qui vous laisse monter un chocobo ou toute autre monture. C’est long, si comme moi vous êtes impatient, puisqu’il y a cette suite de quêtes incontournables à accomplir. Il ne vous suffira pas, comme dans Wow, d’atteindre un certain niveau et de d’acheter la compétence, car il vous faudra attendre d’entendre parler d’Ifrit, et de le combattre pour savoir que vous êtes proche de pouvoir apprendre à monter.

Un conseil gratuit : si vous ne souhaitez pas up (évoluer de niveau) trop rapidement par rapport à cette quête principale, vous pouvez, dans l’attente, vous consacrez à l’artisanat ou à une autre classe, à moins que vous ne connaissiez déjà suffisamment de monde pour vous accompagner en donjon.

The Lodestone

Ma page d’accueil

Je suis tombé dessus par hasard, en cliquant sur le lien à partir du site. The Lodestone, c’est une sorte de réseau social pour vos personnages. On y retrouve un « mur », des listes d’amis et linkshells, une fiche complète du personnage connecté, un résumé de ses hauts-faits, la page, le coffre et les forums de sa compagnie libre, un blog rien que pour soi, … De bonnes idées pour les roleplayers et guildes, afin de pouvoir communiquer en dehors d’Éorzéa.

Je n’ai malheureusement trouvé ni REST API, ni application mobile.

Le MMORPG kawaï, sans goût

Un gameplay pas très original, une bande son sympa (plusieurs variantes d’une même musique) mais des personnages trop souvent muets, des quêtes annexes sans intérêts, … rien qui ne justifie l’achat du jeu et son abonnement. Seuls peut-être les fans inconditionnels s’y retrouveront.

Thoanny